Du plus loin que je m’en souvienne
Un peu Comme un souvenir diffus
De vaporeuses brumes internes
Me parlent du Paradis Perdu
Un chant tel une douce plainte
Emergeant d’un tohubohu
M’enveloppe de son étreinte
Me parle du Paradis Perdu
Cet air tel un serpent doré
De plus profond de moi, vois tu
Réveille mes peurs ancrées
Qui parlent du Paradis Perdu
Dans ces moments où je chavire
Je te cherche mon Amour où est tu
Ta longue absence me déchire
Oh Toi…..mon Paradis Perdu …
5 Avril 2009 © Danielle Ferra
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