Le masque était nu,
Sans fard, sans masque
Posé sur le guéridon
Il souriait comme à une bonne farce
Quand on contemplait sa face
Nulle honte, nulle peur,
Il pensait que c'était l'heure
De se dévoiler, de ne plus pleurer
Et de devenir un homme, un vrai !
7 Octobre 2003 © Anna Castro
|